Les deux armées étaient face à face. La tension montait vite. Illemfort attendait stoïquement. Ses hommes n'étaient pas sans courage, mais si ils voyaient la peur de leur commandant, ils fuiraient. et il ne pouvait se permettre que ces troupes quittent le front.Illemfort espérait que les renforts envoyés par la cour royalearrivent plus tôt que prévu mais le messager l'avait prévenu, les renforts ne seraient là que dans une demi heure. Tout était calme, silencieux. Les oiseaux ne chantaient plus, le vent ne sifflait plus.Même l'armée adverse était calme. Dérrière lui, ses généraux et ses mages de guerre poffinaient le plan de bataille. Une fois les rôles donnés, ils se mirrent en place. Illemfort regarda l'horizon, un nuage de poussière arrivait, mais pas assez vite. Un cor de geurre résonna, puis un autre. L'armée adverse s'élança. Il ferma les yeux, il n'avait pas besoin de d'onner d'ordres, ses généraux savaient se qu'il fallait faire. ses hommes criaient de toutes leurs forces puis une détonnation éclata. C'etait le signal. Aussitôt il rouvrit les yeuxet vit les orques à une centaine de métres devant lui. Dégainant son épée, il charga, imité par ses hommes.
La bataille faisait rage autour de lui. Un orque tomba sous c'est coups, puis deux, puis trois. Il ne pensait à rien, son instint de survie avait pri le dessus. Un cor résonna, des cavaliers chargèrent. Une fléche le toucha dans le dos, une lance le transpersa. Il tomba lentement. Ses yeux se voilèrent. Il entendit les orques battrent en retraite puis se fut le silence. Illemfort, commandant de guerre, ne connu plus aucunne victoire.