Oh Fort Espérance, Forets et épees rances !
Quitter ce monde sauvage aux multiples fragrances,
Artisanat en tout genre, comme une tenue garance,
Loin de ma vue, pendant cette trop longue errance,
Mais viendra le temps de l'ivresse et de la délivrance.
Gargoush ! cogner fort sinon sombrer sous le nombre,
Grand ancien, indicible, qui demeure chaos dans l'ombre,
Sans hésiter te ravir cette vie qui ne cesse de fondre,
Et moi comme la fourmirabée des vers encore pondre.
Vision d'un pauvre fou ? Non ! Héros solitaire, sauvage et draconique, j'ai fait l'expérience de la "sociabilisation", grâce à tous ces colons, explorateurs et autres voyageurs qui se livrent à la merci du "Dieu" Crom qui veille jalousement à "l'éducation" de son FRONTIERES.
Buvez une choppe de bière (artisanale probablement un jour!) et pensez à ces vers, paroles ou mots, que j'ai écris et vous direz à peu de choses près : " j'ai oublié son auteur mais cela me donne envie de reprendre le chemin !".
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Salut à tous, sans exception,
je donne rendez-vous aux fidèles à l'automne, pour l'extension;
les artisans fabriquez moultes objets et souvenez vous que Vugrish consomme sa mandoline comme un vulgaire alcool.
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PS : pour les inquiets de la rime et des citations, je m'inspire librement (ben quand on joue Vugrish, il faut bien !) de la Fleur Suprême de Paris, S. MALLARME.