Torghash Nafur Graphoumda!;:
Borguesh DiR Kaldeg,,!
Olter Frantzen KeLtaM '
Comme à mon habitude, je foulais Frontières de mon verbe et mes jambes lorsque je vis d'étranges marins, maniant le Haut Verbe et des lames solides. Si proches du grand Fort, et coriaces avec ça... Arganuk, ffourkalmashhh... J'ai fui devant une telle organisation, sans honte mais sans courage pourtant, ma poèsie n'ayant eu que peu d'effets. Que veulent ces navigateurs, d'une autre terre assûrément ?
Cherchant à redorer mon blason, je tailladais quelques protestataires d'une partie de ma race, enfin des orcs du croc noir. L'inspiration me vient souvent lorsque je me laisse aller à la sauvagerie.
Bruyant dans mon silence habituel, je suis intrigué par Grande Ombre: je l'interpelle et elle me repond qu'elle n'est pas celle que je crois avant d'entreprendre une transformation qui fait d'elle Grande Ombre. N'oublions pas que j'ai un sens peu approfondi de la civilisation : à part un aspect différent, mon impression était identique.
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Pourtant, je connais celui qui "s'amuse" derrière cette apparence, et je place alors tout le respect que je lui doit dans une conversation quasi-draconique.
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Notez que ma réserve habituelle a fondu dans un élan irrépressible, comme lorsque la folie du combat vous traverse l'échine.
Alors à tous, soyez indulgents avec le sang noir qui coulent dans mes veines, les poémes brutaux qui jaillissent de mon talent et le silence dont je suis un admirateur pas forcément fidèle.
A lui : merci pour ces quelques paroles et cette paire de bottes qui ne s'useront pas avant que mes poèmes soient oubliés.
Vugrish GORGHA, poète à l'entendre et bretteur à l'en croire.